Découvrez pourquoi l’eau est essentielle et sa qualité est une priorité

L’eau est responsable d’un nombre surprenant de fonctions essentielles :

Vous n’êtes pas sans savoir que nous sommes constitués en majorité d’eau : environ 65 % du poids de notre corps et, proportionnellement, l’eau constitue 99,1 % de nos molécules ! Le reste, c’est essentiellement des atomes (ions) et grâce à cet élément nous sommes protégés tout au long de notre vie.

• L’irrigation de nos tissus, donnant à notre peau son élasticité ;
• La digestion permettant de dissoudre les aliments ;
• L’équilibre thermique de notre corps ;
• L’évacuation des déchets ;
• Le transport de l’oxygène et de nutriments vers nos cellules;
• Et participe à notre système immunitaire.

Buvez de l’eau, mais de l’eau saine !

En revanche, un apport en eau insuffisant entraîne

• Le manque d’oxygène;
• Le dysfonctionnement de nombreux organes tel que les muscles et le cerveau;
• La diminution des performances physiques, intellectuelles, cognitives ainsi que la mémoire et la concentration et ce, dès l’apparition de la soif.

En clair, sans eau, l’homme meurt au bout de quelques jours.

Par conséquent, nous devons prendre notre hydratation très au sérieux !

Comment bien remplir son verre et quelle eau choisir et qu’attendons-nous d’elle ?

La pollution de l’eau, un problème récurrent,

Au cours de son cycle, elle voyage à travers les sols, l’air et les végétaux et elle devient à la fois l’objet et le sujet de pollution dans un environnement impur transportant avec elle tous les polluants et tous les toxiques qu’elle croise sur son chemin (produits phytosanitaires, chimiques, hormones, arsenic, chlore, métaux lourds, PCB, microparticules, médicaments, radioactivité).

Les sujets autour de l’eau idéale pour la santé animent de nombreux débats mais principalement, on attend d’elle, qu’elle hydrate au mieux les cellules et les tissus de notre corps.

L’eau que nous consommons chaque jour doit être saine et peu minéralisée, sachant que, selon les spécialistes en matière de minéraux, nous ne pouvons assimiler au maximum un pour-cent des minéraux contenus dans l’eau, et que les minéraux qui ne peuvent pas être absorbés peuvent obstruer ou encrasser nos organismes.

L’eau dites de source semblerait mieux répondre aux exigences de santé.

En revanche, les eaux minérales, dont on nous vente les vertus à grand coups de budgets publicitaires par les géants du secteur, contiennent de nombreux minéraux, mais peu ou pas assimilables, car inorganiques.

Les eaux de source doivent répondre naturellement aux normes de potabilité sans aucun traitement. Souvent d’origine souterraine, microbiologiquement saines, protégées contre les risques de pollution, bactériologiquement pures et conformes à la législation sur les eaux destinées à la consommation humaine.

Les seuls traitements permis afin d’éliminer les éléments instables que sont les gaz, le fer et le manganèse sont l’aération, la décantation et l’élimination des matières en suspension.

Les eaux minérales naturelles ont des teneurs en minéraux et oligo-éléments susceptibles de leur conférer des vertus thérapeutiques et leur composition physico-chimique est stable car elles sont issues de nappes souterraines à l’abri des risques de pollution.

Elles doivent aussi faire l’objet d’études pharmacologiques et médicales pour être reconnue comme étant bénéfique pour la santé par l’Académie Nationale de Médecine, ce qui les différencient des eaux de source. Elles sont, généralement, plus minéralisées que les eaux de source et ne doivent pas être consommées régulièrement.

Gare aux bouteilles en plastique !

Même si vous choisissez de consommer de l’eau minérale (5000 fois plus chère que l’eau du robinet) et autres eaux de source embouteillées (souvent en plastique), vous devez tout de même vous préoccuper des fameux phtalates des bouteilles en plastique qui semblent être des perturbateurs endocriniens, si on considère le grand nombre d’effets nocifs de ces molécules qui se comportent comme des hormones (cancers hormono-dépendants du sein et de la prostate, pubertés précoces, etc.)

En plus de cela, certaines marques se mettent même à “ioniser” les bouteilles pleines avant stockage pour éviter la prolifération des bactéries, algues et autres micro-organismes. Sans parler des conditions de stockage en plein air au soleil (malgré des films plastiques opaques), favorisant ainsi l’influence néfaste de la matière plastique des bouteilles sur l’eau contenue. Quand on connaît la réalité de la « mémoire de l’eau », une telle inconscience est assez inquiétante. L’eau de ces bouteilles a ainsi perdu toute propriété bénéfique et pratiquement toute vie.

Et l’eau du robinet dans tout ça ?

La définition de l’eau potable est qu’elle peut être bue sans danger pour la santé.

Et pourtant, la qualité de l’eau du robinet est de plus en plus mise en défaut : certes, cette eau ne contient plus de micro-organismes parce qu’elle est bactériologiquement traitée.

Mais hélas, elle peut encore contenir des résidus d’engrais azotés, des traces de produits phytosanitaires, des herbicides comme l’atrazine et la simazine, des insecticides, du plomb, des virus ou équivalents, des germes fécaux, de nombreux médicaments (anti-cancer, pilules anticonceptionnelles et tous les remèdes chimiques).

Malgré le travail formidable des stations d’épuration, le traitement lui-même n’épurerait pas la totalité des matières organiques et des rejets toxiques. Ainsi, l’eau resterait responsable d’intoxications provenant de sa qualité incertaine.

La réalité sur les systèmes de traitement de l’eau

Si l’on se résout à consommer l’eau du robinet (présumée potable), Plusieurs méthodes de traitement de l’eau sont proposées. Voici les principaux avec leurs avantages et leurs inconvénients :